5 assurances anti-vol

Vos maisons de vacances sont-elles bien protégées contre les intrusions? Et vos domiciles sont-ils véritablement à l’abri d’une visite inopinée pendant une absence occasionnelle? La serrurerie moderne a de quoi combler nos désirs avec ces cinq assurances anti-vol.

La serrure ordinaire

Un accessoire peu commun qui vous évitera de changer de serrure. C’est une tige de la taille de votre clé qui, placée dans la serrure fermée, interdit toute introduction de passe-partout. Pour l’enlever, par contre, il vous faut la clé. Cela n’a pas d’autre nom que celui de sa fonction : « dispositif de sécurité pour serrure ».

Les fausses entrées

Pour les fausses entrées de serrures, le crocheteur sera trompé par votre sens de la mise en scène. Les moyens nécessaires sont une plaque de propreté coulissante ou pivotante, une moulure, un motif décoratif et un marteau de porte bloqué par une goupille invisible. Le tout complété par une fausse entrée de serrure en dessus ou en dessous de la vraie. Peut-être, votre voleur trouvera-t-il l’astuce, mais le temps gagné est souvent précieux.

Crémone surprise

Serrure à crémone

Serrure à crémone

Souvent, un intrus se contentera de briser une vitre de fenêtre et tourner la poignée de la crémone. Pour prévenir cette manœuvre, percez un trou dans le guide crémone et introduisez dans ce trou une goupille à dimension. Personne ne pourra débloquer ce système à moins de le connaître.

La plaque épaisse

Bien des spécialistes de l’effraction ne s’embarrassent pas de subtilités. Ils percent un trou au-dessus de la serrure, introduisent une scie fine et découpent tout simplement le bois autour de la serrure. Pour pallier ce genre d’attaque, il convient de blinder la porte avec une plaque épaisse de tôle plus ou moins épaisse.

Cependant, cela n’est pas toujours esthétique, surtout sur les portes anciennes. Aussi, l’ingéniosité apporte une solutions astucieuse. Noyer dans l’épaisseur du bois des rayons de bicyclette d’une longueur de 20 à 30 cm. Comment? Rien n’est plus simple : en se servant de ces mêmes rayons comme mèche, vous serez surpris de voir leur pouvoir de pénétration.

L’échec à la pince-monseigneur

Rien ou presque ne lui résiste. Cependant, songez que l’on peut introduire les mâchoires de cet outil que dans les interstices d’une porte. Il faut veiller à ce que les portes n’aient pas de jeu. Ensuite, comme l’action de la pince aboutit à l’arrachage du battant ou des paumelles, il faut renforcer ces parties notamment par des cornières en fer dont :

  • les cornières en « T » pour le battant, vissées sur le chant de la porte
  • les cornières en « L » pour l’huisserie ayant comme avantage de couvrir les joints de la porte

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